Design Des Signes : de l’œuvre à l’usage

Expositions, performances, VR, conférences, lives, projections : la 22ème édition du Festival accès)s( est axé autour du design et à sa capacité à faire signe dans l’Art.

L’invité d’honneur n’est autre que Samuel Bianchini présent avec 8 pièces, anciennes et récentes. Il interroge les rapports entre nos dispositifs technologiques, nos modes de représentation, nos nouvelles formes d’expériences esthétiques et nos organisations sociopolitiques en collaboration avec de nombreux scientifiques et laboratoires internationaux de recherche en sciences de la nature et en ingénierie.

Il y a aussi les fantômes d’artistes pionniers aujourd’hui disparus : Robert Breer (Floats, des sculptures flottantes créées au milieu des années 60 et exposées à l’exposition universelle d’Osaka en 1970) et Nicolas Schöffer (Lumino, une sculpture lumineuse élaborée en 1968 et qui a été commercialisée internationalement).

Parmi les œuvres étonnantes, signalons Haruspices, l’installation pneumatique et évolutive de Jonathan Pêpe. Composé d’une cage thoracique rigide à laquelle s’adjoint quatre organes en silicone, l’engin pulse un rythme d’humeurs déterminées par des flux en temps réel d’informations provenant des réseaux sociaux puis interprétés en quatre « émotions » par l’intelligence artificielle IBM Watson.

Mentionnons aussi Bug Antenna de Raphaëlle Kerbrat qui rend perceptible les ondes électromagnétiques, invisibles à l’œil nu, et inaudibles pour l’être humain, mais omniprésentes dans nos quotidiens. La sculpture-objet en réalité augmentée de Grégory Chatonsky et du designer Goliath Dyèvre, Internes (l’augmentation des choses), est pensée comme le premier mètre carré d’un devenir de l’ensemble la surface terrestre, celle d’un monde gris et post-apocalyptique que la VR colore et rend vivant.

Présentée pour la première fois en France, Value Of Values, de Maurice Benayoun, Tobias Klein, Nicolas Mendoza et Jean Baptistes Barrère, est une chaîne de création qui, de la Brain Factory à la Blockchain, en passant par la poésie transactionnelle, la co-création et les Twodiees, propose à son visiteur de donner lui-même forme à sa pensée à partir de 42 valeurs humaines. (…) En coiffant un casque EEG, chaque visiteur contribue à l’évolution d’une forme produite par ses ondes cérébrales et devient ainsi un Brain Worker au sein d’une Factory — une usine de formes artistiques virtuelles.

On s’attardera également sur trois œuvres VR. Celle de Faye Formisano, They dream in my bones – Insemnopedy II. Une installation- fiction racontant l’histoire de Roderick Norman, chercheur en onirogénétique ; science permettant d’extraire les rêves d’un squelette inconnu… L’installation monumentale de John Sanborn, The Friend VR, qui nous immerge dans une église reconstituée où des personnages célèbrent leur liberté et la création d’une nouvelle utopie. Le projet immersif de Vincent Ciciliato & Christophe Havel, II Canto dei suicidi, inspiré du Canto XIII de la Divine Comédie de Dante.

Une exposition virtuelle et protéiforme, conçue par le collectif PrePostPrint, laboratoire et groupe de recherche autour des systèmes de publication libres alternatifs, sera « accessible » sur > https://xx2.acces-s.org/ Sans oublier une nuit electro avec Nkisi, Sarahsson, Danse Musique Rhône Alpes, V9 pour finir en beauté.

> du 8 octobre au 25 décembre, Pau
> https://www.acces-s.org/

De l’autre côté

Rendez-vous annuel du Fresnoy, Studio National des Arts Contemporains, Panorama est placé cette année sous le signe de la frontière invisible, celle qui nous fait passer de l’autre côté du miroir via des installations vidéos et projections.
L’autre côté, c’est aussi l’autre vie de cet ancien lieu de fêtes et de retrouvailles, cinéma, salle de bal, de concert, de combats de boxe et de catch qu’était Le Fresnoy, devenu le vaisseau obscur d’œuvres de lumière… 
L’autre côté, c’est celui auquel l’art donne accès notre monde mais un autre à la fois ; soudain habité, mystérieux, enchanté, révélé… parfois convoqué par des danses et transes, des rituels guérisseurs, mais aussi par le truchement d’une technologie dont la discrétion marque la réussite…
L’autre côté, c’est le monde du rêve jamais très loin d’ici. Celui des astronautes et celui des hommes préhistoriques restitués par les algorithmes. L’autre côté, ce sont ces figures de lumière spectrales qui habitent l’exposition : plus de 50 œuvres inédites, dans les domaines de l’image, du son et de la création numérique, réalisées par les artistes du Fresnoy. L’autre côté, c’est celui auquel nous accédons en pénétrant l’écran de cinéma, celui de la salle de projection au cœur de l’exposition où 29 films inédits seront projetés.
Avec Judith Auffray, Younes Ben Slimane, Anna Biriulina, Lucien Bitaux, Julia  Borderie & Eloïse Le Gallo, Ghyzlene Boukaïla, Alice Brygo, Lea Collet, Anaïs-Tohe Commaret, Jerome Cortie, Rolando Cruz Marquez, Bianca Dacosta, Charline Dally, Edith Dekyndt, Guillaume Delsert, Sarah-Anaïs Desbenoit, Ana Edwards, Justine Emard, Julian García Long, Yann Gonzalez & Alain Garcia Vergara, Che-Yu Hsu, Adam Kaplan, Elina Kastler, Lina Laraki, Lou Le Forban, Pierre-Lefrançois Vérove, Ange Lempaszak, Quentin L’helgoualc’h, Ethel Lilienfeld, Marin Martinie, Gohar Martirosyan, Antoine Mayet, Joachim Michaux, Magalie Mobetie, Fredj Moussa, Marcel Mrejen, Norman Nedellec, Toshihiro Nobori, Daniel Penaranda Restrepo, Hugo Pétigny, Charlotte Pouyaud, Julie Ramage, Chuxun Ran, Sabrina Ratté, Ben Rivers, Julia Tarissan, Guillaume Thomas, Kris Verdonck, Victor Villafagne, Agata Wieczorek, Jisoo Yoo, Yunyi Zhu…

> du 30 septembre au 31 décembre, Le Fresnois, Tourcoing
> https://www.lefresnoy.net/

Convention et festival des cultures électroniques

Pour ce rendez-vous proposé par Technopol qui fête ses 10 ans en cette fin de semaine, il y a bien sûr des lives et DJ-sets avec Dave Clarke, Para One, Molecule, Volvox, BXTR, Dylan Dylan, Bamao Yendé, Electric Rescue, Josh Cheon, Osoloco, Frédéric Djaaleb, Alignment, Headless Horseman, Calling Marian, Axel Moon, Inigo Kennedy

Mais aussi — et surtout ? — beaucoup de questionnements autour de l’organisation et du déroulé des événements festifs, et de la création musicale sous forme de conférences, débats, masterclasses et workshops. Parmi les thèmes abordés : Metaverse : pour un virtuel plus vertueux, e-sport et musiques électroniques ; NFT : nouvel économie de la création ou non sens écologique ? ; Data et métadonnées : comment donner plus de valeur à vos œuvres ? ; Passeurs ou militants : les tiers-lieux, nouvelle maisons de l’écologie pour tou·te·s ; Inclusion, sororité et musiques électroniques ; où en est-on dans la région SWANA (Afrique du Nord et Asie du Sud-Est)

> du 21 au 24 septembre, La Villette, Paris
> https://www.pariselectronicweek.com/

Le jour d’après

Prométhée, le jour d’après est une exposition présentée au Centre des Arts d’Enghien en collaboration avec le Centre Wallonie Bruxelles. Les pièces proposées sont rassemblées selon trois questionnements. En premier, celui autour du fameux mythe prométhéen. Ce volet de l’exposition est constitué d’œuvres manifestant autant des traits de démarcation et de métamorphoses de l’humain que de son environnement en quête d’une voie libératrice. Ce premier chapitre tente ainsi d’identifier les prémices de ces transformations à venir, la potentialité des êtres et des territoires en sélectionnant des œuvres aux essences non immuables, aux données hétérogènes.

Le deuxième est axé autour de l’hybris, notion grecque qui se traduit le plus souvent par « démesure ». Elle désigne un comportement ou un sentiment violent inspiré par des passions, particulièrement l’orgueil et l’arrogance. Associée à des valeurs morales et religieuses, l’hybris est condamnée car elle est un dépassement de la condition humaine qui est usurpation du divin. Les pièces sélectionnées pour ce second chapitre attestent de l’augmentation des potentialités humaines par la technologie, du mythe de la singularité et des visées post-humanistes permettant ici de métamorphoser la forme préétablie en liberté d’inventer le réel et l’imaginaire.

Le troisième est presque nietzschéen puisque le voleur de feu, nous dit-on, a opéré un renversement de toutes les valeurs. Avec Prométhée, une révolution s’opère : le socle qui fondait les valeurs de l’univers s’est déplacé (…). Avec lui, l’esprit n’est pas que subtilité mais devient don d’invention, préscience, art d’administrer faisant tout ce qui est humain, advenir faveur, partage et générosité. (…) Tous les gestes spéculatifs qui en résultent, permettent aux œuvres de ce troisième chapitre, de développer une pensée sous le signe d’une fertilisation et d’un engagement par et pour des possibles qu’il s’agit de générer et de rendre perceptibles dans le présent.

Illustration au travers de vidéos, photos, sculptures, installations avec Caroline Le Méhauté, Justine Emard, Alice Pallot (Oosphère, qui imagine univers futuriste dans lequel une communauté scientifique s’interroge sur ses origines), Frederik de Wilde (Hunter & Dogs, inspiré de l’ADN et des modifications possible du génome), Jean-Pierre Giloux (Stations # part 4 extrait d’Invisible Cites, une tétralogie qui s’inspire des Métabolistes, mouvement utopiste architectural japonais d’après-guerre), Sarah Caillard, Sabrina Ratté (avec des cyborg/déesses qui incarnent le concept de « monade », dans laquelle chaque individu constitue une sorte de « miroir fragmenté », dans une réalité plus large), Mathieu Zurstrassen (Margaret, un prototype élaboré d’ESP (Emotional Support Plant) régit par un réseau Neuronal (AI) initialement créé pour combler la solitude d’un chercheur), Arnaud Eeckhout & Mauro Vitturrini, Filipe Vilas-Boas (L’Astrophone, une projection interactive, méditative et musicale qui traite de l’exploration spatiale et de la quête de sens), Charlotte Charbonnel, Raymond Delepierre (Swalling hEARt, une large sphère audiosensitive invite le public au toucher afin de percevoir par son corps les vibrations du son qui en émane), Adrien Lucca, Thy Truong Minh

> du 21 septembre au 18 décembre, CDA, Enghien-les-Bains
> https://www.cda95.fr/

40 ans d’art sonore

La Muse en Circuit a été créée en 1982 par Luc Ferrari. À l’époque, cette structure est basée à Vannes. Dix ans plus tard, déménagement à Alfortville et construction de nouveaux studios (électroacoustiques et radiophoniques). En 1994, Luc Ferrari démissionne et David Jisse lui succède. Depuis 2013, c’est Wilfried Wendling qui dirige ce Centre National de Création Musicale.

Pour ses quarante ans d’existence, La Muse en Circuit rend hommage à son fondateur. En particulier grâce à l’ensemble Soundinitiative qui proposera un parcours décalé et humoristique reprenant des pièces performatives de Luc Ferrari (…) peu jouées et inviteront le public à des jeux d’interactions sociales intuitives, avec cette légèreté profonde, typique du compositeur.

En avant-première, Jérôme Florenville présentera Une autre écoute est possible. Un documentaire qui part sur les traces de ce que fut La Muse en Circuit, véritable laboratoire sonore qui irrigue jusqu’à aujourd’hui tout un courant de musiques inclassables dont le fil rouge s’articule autour de la création sonore : expérimentales, contemporaines, électroacoustiques, improvisées, bruitistes, etc.

La galerie d’exposition Le 148 à Alfortville, offre une exposition sonore  pour entrer dans l’univers de La Muse en Circuit au travers de deux espaces. L’un dédié à une installation sonore immersive Le Cycle des souvenirs, création de Luc Ferrari. Au centre de plusieurs enceintes placées à différentes hauteurs, le spectateur est plongé dans un espace sonore nourri des souvenirs du compositeur. (…) Tous les éléments sont architecturés en cycles qui, en se superposant, produisent des rencontres hasardeuses. (…) La boucle sonore se décale et se transforme à l’image des transformations et déformations opérées par la mémoire et le temps… L’autre espace est dédié à un atelier de création sonore avec des objets électroniques ludiques (Soundbox) et des logiciels dédiés (Motionkit).

> du 20 septembre au 4 octobre, le 148, Alfortville
> https://alamuse.com/
> https://www.facebook.com/events/3025741507717988/3025741524384653

plus que vivant

Troisième édition pour le festival Open Source Body. Au programme, des rencontres et une exposition sous-titrée cette année Plus que vivant. À l’initiative du medialab Makery, cette manifestation réunit des artistes qui puisent leur inspiration dans le domaine de la santé, des biotechnologies et de la recherche médicale, questionnant ainsi les limites du corps humain et ses rapports, tourmentés, avec son environnement.

Une trentaine d’installations, artefacts et vidéos sont présentés. Dont Tiny Mining de Martin Howse ; première coopérative d’exploitation minière open source engagée dans l’exploitation potentielle de l’intérieur du corps humain vivant, pour en extraire les terres rares et autres ressources minérales

The Blue Flower in the Land of Technology d’Albert García-Alzórriz ; une étude audiovisuelle sur les conséquences esthétiques et politiques de la relation entre le corps humain et les dernières technologies médicales hospitalières

UNBORN0x9 de Shu Lea Cheang & Ewen Chardronnet ; une installation artistique qui s’interroge sur le développement des fœtus dans des utérus artificiels hors du corps (ectogenèse) et sur l’avenir cyborg de la parentalité…

Quorum Sensing : Skin Flora Signal System de Helena Nikonole & Lucy Ojomoko ; un projet qui consiste à développer des modifications génétiques du microbiome de la peau humaine afin de détecter les maladies par l’odorat…

Le festival sera marqué aussi par la performance de Maya Minder & Claudia Stöckli, la présentation du Bestiaire de l’Anthropocène par Disnovation (Nicolas Maigret, Maria Roskowska) et Nicolas Nova, des ateliers, une rencontre avec ORLAN et Marion Laval-Jeantet sur le thème « Quand l’art détourne la normativité médicale », une conférence animée par Ariel Kyrou (« Quand les artistes rencontrent la santé et la recherche biomédicale »)

En partenariat avec Bioart Society (Finlande), Laboratory for Aesthetics and Ecology (Danemark), Waag Future Lab (Pays-Bas), Kersnikova Institute (Slovénie), Open Source Body est co-produit par Art2M/Makery/MCD et la Cité internationale des arts, organisé dans le cadre du programme ART4MED – art meets health and biomedical research et co-financé par le programme Europe Créative de l’Union Européenne.

> du 28 septembre au 22 octobre, Cité internationale des arts, Paris
> https://www.opensourcebody.eu

cultures électroniques et arts numériques

Après les turbulences des années Covid et malgré les séquelles encore en cours, 2022 semble marquer un retour à la normale pour les grands événements publics. Timing idéal pour Scopitone qui célèbre ses 20 ans d’existence en cette rentrée, du 14 au 17 septembre.

Cet anniversaire sera marqué par du mapping projeté dans la cour du Château des ducs de Bretagne. Aux manettes, Yann Nguema (fondateur d’Ez3kiel). Pour cette création, il va puiser des éléments de la culture indienne (s’inspirant de l’exposition Reflets de mondes sacrés visible au château) et les télescoper avec d’autres esthétiques issues de civilisations et époques différentes. Ce métissage culturel en forme d’uchronie architecturale s’animera régulièrement tous les soirs du festival à partir de 21h00.

Rendez-vous quasi-similaire mais sur les bords de l’Erdre, quai Ceineray, avec Joanie Lemercier (co-fondateur du label AntiVJ) pour son l’installation audiovisuelle Constellations qui brille de multiples reflets aux couleurs blanches et argentées nimbées de noir. Des visuels projetés sur de fines gouttes d’eau en suspension forment ainsi des images tridimensionnelles qui nous donnent l’impression de plonger aux tréfonds du cosmos jusqu’aux limites de l’univers. La bande-son est signée Paul Jebanasam.

Sur le front des lives A/V, on retrouve avec plaisir Alex Augier. Il proposera hex/A\, une performance millimétrée qui combine son, vidéo et laser. Attentif à la « mise en scène », Alex Augier sait surprendre le public par des images et des sonorités qui frappent comme des uppercuts. Sébastien Guérive devrait aussi surprendre avec son projet Omega Point en développant une atmosphère ambient et expérimentale, en contrepoint des images organiques du réalisateur Mikaël Dinic diffusées sur onze cylindres.

Plus coloré, plus festif aussi, le tandem formé par S8JFOU et Simon Lazarus devrait embarquer le public dans un univers à la fois rythmé et introspectif avec leur live AV Op Echo. Autre duo au programme, Atoem se partage également entre deux mondes, organique et synthétique, acoustique et électronique. À noter qu’ils seront aussi présents pour une masterclass sur la synthèse soustractive ; c’est-à-dire autour du synthé modulaire qu’ils ont fabriqué et des différentes phases du processus créatif (composition, mixage, enregistrement, etc.).

Le jeudi 15, la salle Maxi de Stereolux devrait résonner sous les assauts combinés de 4 artistes : Maelstrom, Flore, Fasme et Djedjotronic. Cette performance à 8 mains devrait être un des temps forts des lives et DJs sets de cette édition avec Daniel Avery, tête de pont de la première nuit electro qui s’achèvera tôt le matin. Le reste de la programmation musicale nous échappe quelque peu, question de génération…, mais nul doute qu’entre Gazole Inc., Poté, Decius, Asna & Anyoneid, Zone Rouge, Anetha, Myd, Bambounou ou Nesa Azadikhah, cet anniversaire bénéficie de bonnes vibes.

> du 14 au 17 septembre, Nantes
> https://www.stereolux.org/scopitone-2022/

Global Periphery est un symposium hybride sur les activités spatiales et les imaginaires contemporains de l’espace proposé par Annick Bureaud et Marcus Neustetter.

Les imaginaires spatiaux dominants sont ancrés dans la culture des nations qui ont mené la première ère de l’exploration spatiale, en grande partie issus des États-Unis et de l’iconographie hollywoodienne. Mais qu’ont fait — et que font — tous les autres ?

Énoncer, analyser, réinterpréter, questionner, métisser, inventer, créer des imaginaires spatiaux dans et à partir de multiples dimensions est au cœur de Global Periphery où interviendront Eleanor Armstrong, Fabiane Borges, Rohini Devasher, Davis Cook, Michelle Hanlon, Eduardo Kac, Susmita Mohanty, Ale de la Puente, Yoko Shimizu, Frédérique Aït Touati… avec en point d’orgue, Imaginary Futures, une performance collective expérimentale en ligne et sur site conçue par Marcus Neustetter.

> les 23 et 24 septembre, Cité internationale des arts, Paris
> https://www.olats.org/global-periphery